Il y en a eu pour tous les goûts à Paris lors du mois de mars 2016 sur les salons des Tuileries.
Du 4 au 7 mars 2016, Non Sans Raison Tasting room a mis en lumière la mode, la gastronomie et la porcelaine de Limoges. Une invitation à découvrir les dernières tendances culinaires avec 3 chefs de renoms. Sur l’Espace Don’t Believe The Hype, c’est un véritable bal culinaire qui s’est installé avec la possibilité de réserver la meilleure table de la Fashion Week parisienne ! Pour vous garantir un déjeuner gastronomique en plein coeur du jardin des Tuileries, vous pouviez réservez votre table avant l’ouverture du salon !
NON SANS RAISON TASTING ROOM
Né de la volonté d’associer les symboles de l’art de vivre et du savoir-faire français, Non Sans Raison Tasting room réunit en son sein art de la table et cuisine contemporaine à travers l’organisation d’événements culinaires inédits et sur-mesure. Une telle association offre à l’art culinaire un cadre esthétique créatif et à la porcelaine un rayonnement sur les tables les plus inventives.
Quand l’acte de manger devient un véritable spectacle!
Alors #ATABLE!
TAKU SEKINE – LE 4 MARS 2016
Il veut, il fait. Apprentissage de la grande cuisine française bourgeoise en poche, aux côtés d’Alain Ducasse et d’Hélène Darroze, Taku change de popotte et va bricoler chez Saturne avec Sven Chartier. Il se prend tout de suite au jeu de la « haute bistronomie », va faire un dernier tour de manège au Clown Bar et se lance, fougueux, dans une aventure encore jamais vue à Paris : un restaurant gastronomique en accords mets-cocktails. Taku cuisine, et Amaury Guyot, le grand artiste du Sherry Butt, prolonge les plats par ses glou-glou délirants, hyper équilibrés et formidablement balancés.
Son menu:
2 entrées dégustation : Foie gras mariné, anguille fumée, mouillettes – Chinchard, crème de choux fleur, raifort
Plat : Ballottine de volaille, bouillon coco et citronnelle
Dessert : Ganache chocolat, topinambour
GUILLAUME SANCHEZ – LES 5 & 6 MARS 2016
Ovni un jour, ovni toujours. Il est pâtissier mais il cuisine, depuis septembre, dans son restaurant Nomos (« culture » en grec »). Et il faut dire que ça cultive, par ici ! Pains, brioches, fermentations, carbonisations et maturations maison, pour dessiner chaque soir des menus en 5 / 9 / 12 (voire 20) services. À 25 ans, il est bien derrière lui, le pastiche de Guillaume l’artiste. Malraux dans l’âme, il l’a laissé se glisser, son génie, clandestin, et crée des plats qui n’en sont pas toujours à quelques secondes de l’envoi. Pendant, même, parfois.
www.nomosrestaurant.com
Son menu :
3 entrées dégustation : Poireau / olives / fermentation de brebis – Moule / carotte / liveche – Châtaigne / céleri / oeuf fumé / huile de sapin / citron carbonisé
Plat : Tripes de poisson / porc / caviar végétal – Ris de veau / oursin / noisette / caramélisation de bulbes
Dessert : Agneau / chocolat / huile de truffe
STEPHANE JEGO – LE 7 MARS 2016
Le caïd, c’est lui. La planque à chefs qu’on l’appelle, l’Ami Jean, ce restaurant qui ne ressemble à aucun autre qu’à lui-même, et rameute tous les plus grands monstres de la scène gastronomique mondiale. Des biches, des civelles, des palombes, des ormeaux, tout y passe, jusqu’au riz au lait grand-mère qui trahit Stéphane Jégo : derrière ce gueulard endiablé, il y a un grand homme, à la générosité inouïe et au coeur infini. Et sous l’couteau, au piano, ça tremble. Rares très rares sont les cuisines d’une telle richesse, d’une telle justesse et d’une telle puissance. L’Ami Jean vous raconte un secret, et vous dites merci.
www.lamijean.fr
Son menu :
3 entrées dégustation : Grillé de couteaux, noisettes, végétal – Saint Jacques fumée – Emulsion de vieux parmesan, croûtons, ciboulette
Plat : Braisé de joue de veau, endives grillées, agrumes et origan
Dessert : Riz au lait grand-mère à gourmandise
Crédits photographiques : Yannick Roudier